jeudi 16 mai 2013

....aujourd'hui je suis tombé sur une discussion autour du "djiad". Un croyant prévenant d'une punition Divine...etc, et de quelqu'un lui répondant "faut arrêter la..., "nom d'oiseaux".
Je ne puis pas m'empêcher d'y injecter de ma pensée comme suit:

 Dieu se révèle dans le silence du geste anonyme, qui n'éveille pas l'intolérance propre à chacun.
 La nécessité temporelle d'organisation humaine matérielle, appartient au groupe qui la fait naître. 
La loi quoi! 
 L'autorité qui la met en place émane de son groupe d’appartenance, et elle en a sa forme n'en déplaise à d'autres qui en émanent d'autres.
 Chacun la sienne, comme la couleur de son vêtement.

 L'organisation commerciale, (le veau d'or) bénéficie des moyens de communication modernes, informatiques, technologiques divers d'une part et, d'autre part, y  émanent des propriétaires financiers de ce système. S'étant par ailleurs  cooptés et s'entendant sur la gestion de ce grand marché,
 de sa loi et, à qui cette dernière doit servir.

 Et là on est loin du temple du tout puissant universel et intemporel. 
On est dans l'intérêt matériel, dans le temple de l’économie, dont le sang, la sève, l'eau sont ses liquidités financières quels qu'en  soient leurs noms. 
Alors faire le djiad ou guerre sainte (la petite parce qu'extérieure) demande des moyens matériels qui s’achètent, mais à qui.......? 
Et donc les finances de qui.....? 
Celui qui finance n'a pas les mêmes intentions que celui qui récupère cette finance pour sa guerre. Et bien souvent ce sont ceux-là même qui sont propriétaires du marché producteur de cette finance. 

 Leurs bras gauches, sont les politiques des différents pays réunis en clubs (l'Etat a besoin de finance gérée par...). 
 Aucune guerre ne se peut sans qu'au final cela n'arrange ses possesseurs (à leur discrétion bien sûr).

 Dont ce djiad est perverti parce que leurs généraux dépendent des maîtres de l'économie!
Alors oui blablabla ça entretien le mythe du bouleversement, de l'homme par l'homme. Mais pour quel homme?
Et là l'usage de l'arme dans l'argumentaire est à mauvaise destination.
Le verbe et l'échange oui, sans prosélytisme.

 Quand on boit un café ensemble peu importe le vêtement habillant l'autre ou le contenant pour tenir le liquide à boire. 
C'est le partage de ce moment qui importe. 
De le savoir soi c'est déjà immense. 
De le faire savoir à tous, c'est d'en chercher la conviction qui nous en manque......
Dieu est en moi. 
Et personne ne pourra m'en enlever l'image que j'en ai, parce les autres ne sont pas en moi. 
C'est mon "état" intérieur, il ne concerne que ceux que j'y héberge. 
Et là, je choisis mon immigré de cœur Divin. 
Après, oui la vie la société les organisation etc....rien de Divin quoi. 
Pas de surprise, on va tous aux toilettes pour les même raisons. 

C'est rassurant non?

J'attends les réactions.....

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